S’il n’y a pas mille façon d’atteindre Manakara, il n’y a pas mille façon d’en partir. Le train étant une variable trop peu sûre, nous reprenons donc la même route qu’avant hier. Nous traversons donc les mêmes paysages et villages. Aujourd’hui encore, les villages tenant leur marché voient un afflux coloré de beaux vêtements. Là une femme au col de fourrure acrylique bleu, ici les garçons paradent dans leur short orange fluo…
Nous passons cette fois-ci les ponts qui ont remplacé les bacs à une heure où l’activité fourmille à leurs pieds.
Ce soir nous dormons à Ranomafana, un village au pied du parc national que nous visiterons demain.