Après le vacarme de la veille, place au calme du bayou. Les hurlements de la ville se sont tus, maintenant seuls les cris des oiseaux perturbent la quiétude de l’endroit. Le citadin que je suis serait bien en mal de nommer les volatiles qu’il croise; une chose est sûre, ces oiseaux se révèlent bien plus gros que nos pigeons parisiens !
J’aurais passé l’après midi sur les routes de Louisiane, occupé à chercher un chargeur de batterie pour mon appareil photo: faire 30 km pour trouver un magasin n’a ici rien d’étonnant. Je redécouvre les joies de la conduite sur les plaques de béton tape-cul, l’esquive des nids de poules et l’excitation de la traversée hasardeuse des highways !