Wadi Rum à dos de dromadaire

Notre seconde nuit dans le désert est plutôt fraîche. Bien que je me réveille à cause du froid, dormir au milieu de nul part avec pour seul bruit celui du vent me permet de me remettre des efforts de la veille.

Ce matin, nous changeons de mode de transport pour continuer l’exploration du Wadi Rum: nos dromadaires nous attendent à la sortie du camp. Ce n’est certes pas la première fois que nous en montons, mais une méharée si longue nécessite que nous trouvions la bonne posture pour ne pas souffrir. Ma monture se révèle être le moins discipliné, décidant de se redresser avant de m’avoir laissé le temps d’en descendre dès que le chamelier tourne le dos.

Parcourir les grandes étendues désertes avec pour unique bruit le pas nonchalant des dromadaires est une nouvelle occasion de s’émouvoir d la beauté des panoramas. Les images du film Lawrence d’Arabie me reviennent à l’esprit.

Nous retournons doucement à la civilisation aux heures où le soleil est le plus chaud. Quelques heures plus tard, à l’extrême sud du Pays, au bord de la frontière Saoudienne, nous nous baignerons dans une piscine immense: le grand écart !

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