Il nous fallait comprendre pourquoi Riga avait été baptisée « le Paris du nord ». Une visite du centre ville et la découverte des nombreux bâtiments Art nouveau en apportent l’explication. Le début du XIXe siècle a vu la ville se transformer économiquement, faisant de Riga un haut lieu de mode et de culture sur la Baltique. La forte concentration et l’opulence de ces immeubles n’ont rien à envier à des villes comme Helsinki.
Ce 31 décembre aura été aussi l’occasion de vivre la Saint Sylvestre avec les habitants de Riga tous rassemblés autour du monument de la liberté, symbole cher au coeur des lettons. C’est une soirée riche en émotions que nous avons vécu. Le repas aura mis mon estomac et mes papilles à rude épreuve: constitué de lamproie et anguille fumée, choucroute et autres charcuteries glanées au marché central, c’est un mélange audacieux de saveur qui s’offrait à nous. Il suffit de voir ma tête pour comprendre à quel point ces mets se distinguaient par leur saveur étonnante.
C’est le corps réchauffé par ce repas et, surtout, la vodka que nous nous sommes mêlés à la foule compacte avant de finir la soirée dans un club de Riga. Ambiance bon enfant, éclectique, propice aux échanges culturels ! Mais comme what happens in Riga, stays in Riga, je ne pourrais pas faire ici un compte-rendu détaillé de la soirée.
A sequel to Dorian Gray 